8 février est mémoire liturgique de sainte Joséphine Bakhita, la sœur soudanaise qui, enfant, vécut l'expérience dramatique d'être victime de la traite. Les Unions des Supérieurs et Supérieurs Généraux des Instituts religieux ont organisé la Journée internationale de prière et de réflexion contre la traite des êtres humains. J'encourage tous ceux qui sont engagés à aider les hommes, les femmes et les enfants victimes de l'esclavage, de l'exploitation, d'abus, considérés comme des instruments de travail ou de plaisir et souvent torturés. e mutilé. Je souhaite que ceux qui ont des responsabilités gouvernementales mettent tout en œuvre de façon résolue pour éradiquer les cause de cette plaie honteuse, une plaie indigne d'une société civile. Que chacun de nous se sente concerné pour être la voix de nos frères et sœurs, humiliés dans leur dignité.
Prions tous...